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đŸ’„Â ĂŠtre entrepreneuse dans l’IA, c’est dur !

  • Photo du rĂ©dacteur: Laurant Weill
    Laurant Weill
  • 13 avr.
  • 1 min de lecture

DerniĂšre mise Ă  jour : 11 oct.

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Il est 23h47. Je suis encore en train de lire un papier sur des updates importantes. Rien qu’aujourd’hui 3 bouleversements et 1 Aha moment ! Demain une visio avec OpenAI annoncĂ©e comme « supermassive blackhole » pour les dĂ©veloppeurs.


Tester, tester encore, digĂ©rer des tonnes de nouveautĂ©s
 Et parfois, tout jeter Ă  la poubelle parce qu’une annonce tombe. 

On a construit des RAG → OpenAI sort les assistants. 

On crĂ©e des agents de com. → OpenAI sort les connecteurs.

Allez hop. À la benne. On recommence.


Chaque jour je me demande si on pivote ou on se débat ?

Et si OpenAI donnait des roadmaps. Mais ils savent, comme nous depuis le 1er jour, que les LLM seront des commodités et que ce sont les services autour qui apporteront de la valeur.

Et pourtant
 Je n’échangerais ça pour rien au monde.


Parce qu’on est une Ă©quipe de passionnĂ©s. Parce que Steroid -l’assistant des dirigeants-, ce n’est pas juste un produit. C’est une obsession : aider les pros Ă  aller plus vite, ĂȘtre plus efficace. Rendre l’IA utile. Vraiment utile.


Alors on continue. On veille, on teste, on recommence. On rend la plateforme toujours plus puissante, plus orientée métier, plus fluide.


On ne court pas contre OpenAI, X ou Y, on avance avec nos clients. Et c’est ça, notre vrai carburant.

 
 
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